Rand'Aurélie
Rand'Aurélie
Qui suis-je
Ma passion des chevaux a démarré grâce à ma mère. Celle-ci a toujours adoré les chevaux, s’offrant des balades dans des endroits touristiques quand son budget le lui permettait.
J’ai grandi en région parisienne à seulement une dizaine de minute en voiture d’un grand centre équestre, le Haras de Jardy. La rencontre avec les chevaux a été un véritable coup de foudre et, grâce à ma mère, j’ai pu commencer à pratiquer l’équitation à l’âge de 6 ans.
A partir de cet instant, je n’ai jamais arrêté de monter à cheval.
Cette passion a guidé mes premiers pas dans le monde professionnel et j’ai ainsi réalisé mon stage de 3ème au sein d’un élevage de frisson, race que j’aimais particulièrement.
Au lieu de parler de projet d’élevage et de monter à cheval comme je l’espérais, j’ai passé ma semaine en tant que palefrenière à faire en sorte que l’écurie reste propre. Lors de ce stage, je voyais les propriétaires de chevaux venir s’en occuper sans avoir à se soucier des tâches « ingrates ».
J’ai donc décider de changer de trajectoire et de me trouver un travail qui me permettrait de gagner assez d’argent pour être propriétaire. Je me suis donc réorienté vers le métier d’ingénieur. J’ai notamment travaillé 7 ans dans l’efficacité énergétique des bâtiments.
En cours de route, j’ai eu la chance de devenir propriétaire d’une ponette New Forest qui avait tout juste 3 ans, ma belle Quechua. Nous avons grandi et beaucoup appris ensemble.
C’est elle qui m’a emmené sur mes premiers concours de CSO, CCE et dressage. Nous avons ensuite essayé des disciples moins classiques comme le western, le horse-ball, le pony-games et surtout l’endurance et le TREC que nous apprécions particulièrement. Aujourd’hui ma jument est âgée de 18 ans et commence à fatiguée un peu. Elle profite donc d’une pré-retraite bien méritée et nous continuons de faire de l’extérieur avec 1 ou 2 TREC dans l’année.
Ne souhaitant pas arrêter de monter, j’ai acquis un jeune pur-sang arabe non débourré, Nino. Ce fut le début d’une nouvelle aventure. Je réalise petit à petit son débourrage moi-même en étant encadré de temps en temps. C’est une expérience géniale qui m’apprend beaucoup et qui me plait énormément.
La crise sanitaire que nous avons traversé m’a fait prendre conscience que mon métier actuel ne me satisfaisait plus. Le contact avec les chevaux ayant toujours été une source de joie dans ma vie, c’est assez naturellement que j’ai cherché une reconversion dans le milieu équestre, avec le passage du diplôme d’ATE (Accompagnateur de tourisme équestre).
Je me suis lancée dans cette reconversion avec un projet en tête : organiser des randonnées pour les cavaliers propriétaires. En effet quel propriétaire ne rêve pas de parcourir de grands espaces avec son cheval ?!
C’est donc avec un immense plaisir (et aussi un peu de pression) que je lance Rand’Aurélie l’été 2022 en proposant deux circuits : un en Drôme provençale et un dans le Vercors. Je souhaite petit à petit ajouter des circuits pour découvrir les différentes régions de notre beau pays !
J’ai également pour projet de développer ma cavalerie pour permettre aux cavaliers non propriétaires ou sans moyen de transport pour leur cheval de vivre ces voyages uniques ! Je souhaite aussi créer des partenariats avec d’autres discipline pour allier équitation avec un autre art.
J’ai la tête pleine de projets, le temps les transformera en randonnées !
Ma passion des chevaux a démarré grâce à ma mère. Celle-ci a toujours adoré les chevaux, s’offrant des balades dans des endroits touristiques quand son budget le lui permettait.
J’ai grandi en région parisienne à seulement une dizaine de minute en voiture d’un grand centre équestre, le Haras de Jardy. La rencontre avec les chevaux a été un véritable coup de foudre et, grâce à ma mère, j’ai pu commencer à pratiquer l’équitation à l’âge de 6 ans.
A partir de cet instant, je n’ai jamais arrêté de monter à cheval.
Cette passion a guidé mes premiers pas dans le monde professionnel et j’ai ainsi réalisé mon stage de 3ème au sein d’un élevage de frisson, race que j’aimais particulièrement.
Au lieu de parler de projet d’élevage et de monter à cheval comme je l’espérais, j’ai passé ma semaine en tant que palefrenière à faire en sorte que l’écurie reste propre. Lors de ce stage, je voyais les propriétaires de chevaux venir s’en occuper sans avoir à se soucier des tâches « ingrates ».
J’ai donc décider de changer de trajectoire et de me trouver un travail qui me permettrait de gagner assez d’argent pour être propriétaire. Je me suis donc réorienté vers le métier d’ingénieur. J’ai notamment travaillé 7 ans dans l’efficacité énergétique des bâtiments.
En cours de route, j’ai eu la chance de devenir propriétaire d’une ponette New Forest qui avait tout juste 3 ans, ma belle Quechua. Nous avons grandi et beaucoup appris ensemble.
C’est elle qui m’a emmené sur mes premiers concours de CSO, CCE et dressage. Nous avons ensuite essayé des disciples moins classiques comme le western, le horse-ball, le pony-games et surtout l’endurance et le TREC que nous apprécions particulièrement. Aujourd’hui ma jument est âgée de 18 ans et commence à fatiguée un peu. Elle profite donc d’une pré-retraite bien méritée et nous continuons de faire de l’extérieur avec 1 ou 2 TREC dans l’année.
Ne souhaitant pas arrêter de monter, j’ai acquis un jeune pur-sang arabe non débourré, Nino. Ce fut le début d’une nouvelle aventure. Je réalise petit à petit son débourrage moi-même en étant encadré de temps en temps. C’est une expérience géniale qui m’apprend beaucoup et qui me plait énormément.
La crise sanitaire que nous avons traversé m’a fait prendre conscience que mon métier actuel ne me satisfaisait plus. Le contact avec les chevaux ayant toujours été une source de joie dans ma vie, c’est assez naturellement que j’ai cherché une reconversion dans le milieu équestre, avec le passage du diplôme d’ATE (Accompagnateur de tourisme équestre).
Je me suis lancée dans cette reconversion avec un projet en tête : organiser des randonnées pour les cavaliers propriétaires. En effet quel propriétaire ne rêve pas de parcourir de grands espaces avec son cheval ?!
C’est donc avec un immense plaisir (et aussi un peu de pression) que je lance Rand’Aurélie l’été 2022 en proposant deux circuits : un en Drôme provençale et un dans le Vercors. Je souhaite petit à petit ajouter des circuits pour découvrir les différentes régions de notre beau pays !
J’ai également pour projet de développer ma cavalerie pour permettre aux cavaliers non propriétaires ou sans moyen de transport pour leur cheval de vivre ces voyages uniques ! Je souhaite aussi créer des partenariats avec d’autres discipline pour allier équitation avec un autre art.
J’ai la tête pleine de projet, le temps les transformera en randonnées !